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Proposition de Procédure d'inscription au secondaire, qui se veut consensuelle, et basée sur un Modèle Mathématique, c'est à dire basée sur une rencontre entre parents et direction, sur une optimisation des choix et une certaine notion de proximité géographique.

Avant toute chose, il convient de réaffirmer la démarche d'inscription en tant que recherche et questionnement sur ce qui convient le mieux à l'enfant, en accord avec l'enfant lui-même, en adéquation avec les ambitions des parents, en adhésion avec les projets, spécificités des écoles. Cela passe donc par de l'information sur les différentes filières, les différents types d'enseignement, suivi de rencontres et visites d'écoles, … une démarche qui se veut posée, réfléchie et devant rencontrer l'adhésion de tous : parents, enfants et école.

Les procédures antérieures et actuelles ayant montré leurs limites, on ne fera pas l'économie d'en définir de nouvelles, car à ce stade, tout retour en arrière est illusoire, trop de choses ont changé.

Pour tenter de concilier les divers points de vues, entre ceux qui préconisent une centralisation des données (dont je fais partie), et ceux privilégiant une plus grande autonomie des directions, voici comment je percevrais une procédure d'inscription consensuelle, convaincu qu'elle soit "parfaitement humaine".

1 Principes

Cette approche est basée sur les principes suivants :
  1. Une démarche résolument humaine, plaçant la rencontre parents – directions au centre du processus.
  2. Une prise en compte des préférences des parents, ainsi que de leur situation personnelle (lieu de travail, domicile principal et du second parent, …). Une vraie liberté redonnée aux parents.
  3. Une certaine liberté discrétionnaire laissée aux directions des écoles, afin notamment de prendre en compte les "cas exceptionnels", aucune procédure ne pouvant tout prévoir.
  4. Une équité et transparence donnant la même chance à tous.
  5. Lors d'inscriptions surnuméraires, les demandes sont classées selon un critère de proximité, pondéré par des facteurs socio-pédagogiques.
  6. Un système efficace, performant, déchargeant les directions d'une tâche administrative.
  7. Une optimisation de l'attribution des places par voie informatique, selon des critères objectifs et respectant les desideratas des parents (choix et critères de proximités).

2 Etapes

Même si on peut envisager plusieurs variantes, dans les grandes lignes, voici une ébauche de procédure d'inscription consensuelle, dont les étapes seraient, en quelques mots d'abord, plus en détail ensuite :
  1. Constitution d'une base de données centrale, reprenant enfants et écoles.
  2. Rencontre parents – directions, les directions inscrivant les enfants dans le système.
  3. Introduction des préférences et critères de proximité par les parents.
  4. Clôture des inscriptions à une date fixe, et attribution du meilleur choix possible à chacun, en maximisant la satisfaction globale, selon les préférences exprimées, et sur base d'une proximité géographique, pondérée entre deux adresses et par des facteurs socio-pédagogiques.
  5. Fin du processus pour la toute grande majorité ayant obtenu leur premier choix, ou satisfaits de la place proposée.
  6. Possibilité des parents de procéder à de nouvelles demandes pour un second tour (points 2 à 5) sur base des mêmes critères, pour les insatisfaits, ceux ayant oublié d'inscrire leur enfant, ou ayant changé d'avis.
  7. Attribution des places de réserve de manière discrétionnaire (mais motivée) par les directions.
  8. Et proposition des places libérées au point précédent, aux suivants sur les listes d'attente.
  9. Traitement manuel des derniers cas par la CIRI en concertation avec les directions.
Et plus précisément :
  1. La constitution d'une base de données centrale, reprenant tous les enfants (établie à priori ou au fil des demandes d'inscription), ainsi que toutes les écoles avec leur profil et le nombre de places disponibles, dont un certain pourcentage (maximum 5 à 10 % ?) sera gardé "en réserve" pour traiter les exceptions. Cette base de données fera également fonction de registre d'inscription, assurant transparence et possibilité de contrôle en cas de recours, …

  2. Sur une période de quelques mois, les parents rencontrent les directions des écoles où ils souhaitent inscrire leur(s) enfant(s). Au terme de ces rencontres, les directions peuvent s'assurer qu'il y adéquation entre le projet des parents/enfants et ceux de l'école, que la demande respecte les critères objectifs fixés par l'école (participation aux journées portes ouvertes, aux séances d'information, signature du Projet Pédagogique, du ROI, … ). La direction procède alors à l'introduction de l'inscription dans le système, et tout refus devra être motivé par écrit aux parents, et consigné dans le registre d'inscription (centralisé dans la base de données).
    Cette étape est la plus importante, en temps et en réflexion, le processus d'inscription se devant d'être une démarche active. Chaque parent devra faire au minimum trois demandes d'inscription, avec un maximum de dix demandes, et à défaut, la liste sera complétée par les écoles les plus proches afin d'obtenir le minium.

  3. Durant cette même période, les parents introduisent leurs préférences (choix), ainsi que le critère de proximité géographique, soit directement s'ils disposent d'un accès internet (solution du type TaxOnWeb) pour les critères "libres", soit via une administration (communale, CPAS, …) pour ceux ne disposant pas d'accès Internet et pour les critères sujet à contrôle (lieu de travail, domicile et lien de l'adulte en charge après l'école, …) nécessitant la fourniture d'une attestation (afin d'éviter les abus). A tout moment, avant la date de clôture, les parents peuvent changer ces critères.

  4. A une date fixée (à déterminer), les inscriptions sont clôturées (au niveau des écoles) et les critères des parents sont figés (choix, seconde adresse, fratrie, …). Sur base de ces critères, en respectant avant tout le souhait des parents donc, le système informatique attribue le meilleur choix possible à chacun, en maximisant la satisfaction globale. Au vu de la taille et de la complexité du problème, seule une application informatique peut effectuer une telle optimisation. Une fois les priorités attribuées (fratries, …), les places restantes sont distribuées selon un coefficient de proximité basé sur :
    1. La distance pondérée entre :
      1. La distance domicile – école, réduite de 90% de la distance domicile – école du même type la plus proche, ceci afin de réduire l'isolement géographique (ceux habitant loin de toute école ne sont pas pénalisés)
      2. La distance adresse secondaire – école, cette adresse secondaire pouvant être au choix :
        1. Lieu de travail : poids de 90%
        2. Adresse de la personne en charge de l'enfant après l'école (grands-parents, gardienne, …) : poids de 80%
        3. Chemin du travail : poids de 60%
        4. Affinité géographique (par défaut, l'adresse de l'école du premier choix) : poids de 20%
      Ainsi la distance retenue est égale à la distance secondaire multipliée par son poids, plus la distance principale multipliée par le complément du poids (1 – poids).

    2. Cette distance est ensuite multipliée par un facteur socio-pédagogique, dont la valeur se situe entre zéro et un, fixé à un par défaut. Plus ce facteur est proche de zéro, plus la distance finale sera réduite. Ce facteur permet de considérer des critères :
      1. Sociaux (Mixité sociale, …)
      2. Pédagogique (Continuité pédagogique, spécificités de l'école, …)

    On obtient ainsi au final une certaine proximité associée à une demande d'inscription d'un enfant dans une école, qui déterminera l'ordre de prise en considération des demandes lors du processus d'optimisation.

    Les principes sous-jacents, ainsi que les notions de distance, les critères géographiques, (et formules mathématiques) sont expliqués en détail dans ma proposition antérieure : "Inscription au secondaire : Une méhode objective, Mathématique". Les facteurs socio-pédagogiques y remplacent (sont combinés sous) le coefficient "m" de mixité.

  5. Le résultat de l'optimisation est communiquée tant aux écoles qu'aux parents. A priori, puisque les enfants auront obtenu la meilleure place possible, à moins de changer d'avis (autre ordre de préférence, demande d'inscription dans d'autres écoles), ils n'auront pratiquement que très peu de chance d'obtenir un meilleur choix (si ce n'est par désistement d'autres, suite à des changements d'options). Les parents sont invités à accepter ce choix de manière définitive (premier choix rencontré, autre choix accepté), ou de manière provisoire s'ils veulent rester sur les listes d'attente au cas où une place se libérerait. Tous les premiers choix rencontrés seront considérés comme définitivement acceptés sans une infirmation des parents endéans les x (8?) jours, et toutes les inscriptions acceptées définitivement seront retirées des listes à traiter.

    Concernant les places provisoirement acceptées, deux options sont envisageables :

    1. On garanti aux parents qu'ils obtiendront "au moins" ce choix.
    2. On les avertit qu'ils peuvent "perdre" cette place si d'autres introduisent de nouvelles demandes qui deviendraient plus prioritaire selon les critères définis ci-avant, ce qui les inciterait à accepter définitivement le choix proposé.

    Pour la sérénité des familles, j'opterais pour la première option.

    Au terme de cette étape, la très grande majorité des enfants devraient être satisfaits, car dans toutes les écoles où il n'y a pas de demandes surnuméraires, tous auront leur premier choix. Pour la plupart, le processus d'inscription s'arrête ici.

  6. Les parents n'ayant obtenu aucun de leurs choix, ayant oublié d'inscrire leur enfant dans une école ou ayant changé d'avis (autre école, autres priorités géographiques, …) peuvent (ré-)introduire des demandes supplémentaires, qui seront traitées dans un second tour : étapes 2 à 5 étalées sur quelques semaines tout au plus. Pour cette seconde étape, un minimum de cinq demandes devront être introduites, ou seront complétées par les plus proches sinon. (Pas de troisième tour.)

  7. La main est redonnée aux directions des écoles, qui pourront utiliser les places de réserve pour traiter les cas exceptionnels (expatriés, divorces, déménagement, décès, …). Chaque inscription puisée sur la réserve devra motivée (et consignée) en respectant des critères prédéfinis par l'école (direction, Conseil de Participation, …).

  8. Disposant d'une gestion centralisée, toute place attribuée sur la réserve correspondra à une libération de place dans une autre école (sauf accueil/retour d'expatriés, …), qui pourra être proposée automatiquement au premier en liste d'attente, et ainsi de suite s'il accepte.

    Les étapes 7 et 8 seront susceptibles de produire des réactions en cascade, vidant très rapidement les listes d'attente, à l'instar de ce qui se passa fin août 2009.

  9. Finalement, si au terme de ce processus, certains enfants sont toujours sans écoles, ce qui est peu probable, ou de nouveaux enfants "apparaissent" et en tous cas ne devrait concerner qu'un nombre très restreint, la résolution des derniers cas se ferait de manière manuelle en concertation entre la CIRI et les directions des écoles. Mais la CIRI, seule à avoir une vue globale au travers de l'application informatique, pourra travailler beaucoup plus rapidement et efficacement.
Procédure résolument humaine, où la place est donnée aux parents et directions dès le début lors des rencontre, tout au long du processus via la spécification des critères géographiques et socio-pédagogiques, et la main revient in fine aux directions pour traiter les derniers cas exceptionnels, l'informatique n'étant là que comme outil pour traiter le plus humainement (objectivité et transparence) le surnombre, et comme outil administratif, facilitant la gestion des inscriptions.

3 Commentaires et remarques complémentaires

Ecoles par défaut

L'option d'ajouter "par défaut" les écoles les plus proches (à partir du deuxième choix, le premier devant passer par une rencontre effective avec la direction) vise à ne pas surcharger les directions de rencontres inutiles dans les régions où traditionnellement l'offre est suffisante dans chaque école.

Préférences parentales

De mon point de vue, il est primordial que la détermination des préférences (choix) soit faite en dehors des écoles et que cette information ne soit pas disponible aux directions. Car sinon, celles-ci seraient tentées de servir les enfants dont c'est le premier choix prioritairement, et ce d'autant plus si on redonne une certaine autonomie, un pouvoir discrétionnaire aux directions (places de réserve, …)

Seconde adresse

La seconde adresse du critère géographique (lieu de travail, …) peut différer pour chaque demande, et en toute logique, seule l'affinité géographique est constante. Par exemple, le premier choix pourrait être proche du lieu de travail de la mère, le second du père, le troisième sur le chemin du travail de la mère, … De plus, les enfants dont les parents sont séparés, pourront, pour chaque demande d'inscription, spécifier soit le domicile de la mère, soit celui du père comme adresse principale, supprimant ainsi l'intérêt de spécifier le domicile de l'autre parent comme adresse secondaire. Les poids relatifs de cette seconde adresse sont indicatifs, et devront être ajustés par le politique en concertation avec les représentants des écoles, parents, … (car il s'agit bien là d'une décision politique de favoriser un critère plus qu'une autre).

Afin d'éviter les abus et d'en vérifier l'authenticité, on pourrait exiger une attestation (employeur, ...) qui devrait être présentée par exemple à la commune (ou à l'école), seule une autorité de contrôle pourrait "caractériser" la seconde adresse en autre chose que "affinité" (selon mon modèle), et confirmer dans le registre en ligne la réception de l'attestation, …

Critères socio-pédagogiques

Chaque critère, ou facteur socio-pédagogique, peut indépendamment être : Chaque facteur peut soit être fixé en valeur absolue (par exemple 0.5 pour la mixité sociale réduirait la distance de moitié), soit en (pourcentage d') objectifs à atteindre (par exemple 15% d'enfants issus de milieux défavorisés). Dans ce cas, la valeur réelle sera calculée pour chaque école après la clôture des inscriptions, et avant le début de l'attribution des places, sur base de la liste des demandes effectives, en préliminaire de l'étape 4.
L'application (l'attribution) d'un facteur doit être systématique ou éventuellement laissé à la discrétion de la direction qui devrait alors motiver sa décision, et dans les deux cas selon des critères prédéfinis par l'école (direction, Conseil de Participation, …) et publiés (par exemple dans le profil de l'école au sein de l'application centrale, et sur le site Internet de l'école). Au sujet de l'adossement des écoles, ou de forme plus déguisée du critère de continuité pédagogique, il faut être attentif à ne pas créer, renforcer des (sous-)réseaux, et donc à strictement limiter (voir supprimer) ce facteur à une valeur proche de l'unité (une valeur de 1 étant sans effet). Je ne puis que vous encourager à (re-)lire mon argumentaire sur ce sujet : L'adossement des écoles fondamentales : une priorité discriminante, inéquitable et contre-productive, et plus particulièrement ces deux articles (sur la même page) :

Je ne suis manifestement pas le seul à partager ce point de vue, comme l'illustre l'article paru dans Le Soir de ce samedi 17 octobre 2009 : Enseignement Effets pervers ? Genappe craint pour ses écoles, ou encore, toujours dans Le Soir, du 13 mars 2009 : Bernard Devos : « Assez de privilèges de caste »

Multi-inscriptions

La multi-inscription, ou demandes multiples, me semble être un droit élémentaire, voir même un devoir, chaque parent devant s'assurer que son enfant soit inscrit dans une école, selon un ordre de préférence. Se refuser aux multi-inscriptions à priori, c'est mettre les parents dans une situation de stress intenable, car soit ils sacrifient directement leur ou pire leurs premiers choix pour se rabattre sur un moindre choix plus sûr, soit ils maintiennent leur premier choix même si leur chance est mince et au risque de devoir se rabattre sur un "dernier" choix, les autres écoles de leurs deuxième, troisième, ... choix étant tout aussi probablement complète dès le premier tour, et où ils auront alors perdu toute chance.

Base de données

Pour construire cette base de données, on pourrait imaginer une interconnexion avec le registre national, et que chaque famille "active" ou inscrive ses enfants en donnant le numéro national, l'application récupérerait alors les informations nécessaires, telles que le domicile. Sans trop m'avancer je pense que les étrangers inscrits régulièrement (pas les sans papiers donc), sont également répertoriés au niveau national. La minorité restante (sans papiers, expatriés, ...) pourraient enregistrer leurs enfants dans cette base de donnée via les communes, CPAS, ... (selon une procédure à définir). Il faut également veiller à ce qu'ils ne s'inscrivent pas plusieurs fois, sinon ils pourraient spécifier plusieurs premiers choix.

Une alternative serait de constituer cette base de donnée lors de la première inscription dans une école, mais d'une part on n'a que la liste des enfants inscrits au moins une fois (et non les enfants potentiellement en âge du secondaire), et d'autre part je considère qu'une école n'a pas à savoir si les enfants sont déjà inscrits ailleurs, car les directions auront alors la tentation de les traiter en seconde priorité (et ce d'autant plus que certains veulent redonner un maximum d'autonomie aux écoles !).

Application centralisée

Seule une voie informatique permet d'optimiser la solution, c'est-à-dire donner à chaque enfant le meilleur choix possible. En effet, un traitement local, au sein d'un réseau ou d'un bassin ne permet pas de prendre en considération les réels désirs des parents, qui peuvent : Une application centrale n'est nullement en compétition avec une approche humaine au sein des écoles, au contraire, elle soulage celles-ci d'un poids administratif, mais surtout permet une optimisation maximisant le nombre de satisfaits, impossible autrement. Au final, la solution la plus humaine donc. Voir également un extrait de courriel intitulé "Application centrale : un outil au service des parents et des directions, renforçant le libre choix des uns, l'autonomie des autres et la transparence pour tous". Quelques simulations seront sans doute nécessaires afin de vérifier que le résultat obtenu correspond aux objectifs fixés initialement et afin d'éventuellement corriger l'un ou l'autre paramètre, coefficient, mais l'informatique nous offre l'avantage d'un tel luxe.

4 Conclusions

Pour aboutir à cette solution que j'espère consensuelle, j'ai tenté d'intégrer autant d'avis que possible, récoltés au fil de rencontres, discussions ou lectures, sans pour autant renoncer à mes convictions personnelles.

Ainsi cette procédure se veut efficace par la mise à disposition de tous, parents et école, d'un outil informatique permettant une optimisation de la satisfaction globale, tout en gardant la relation parents – direction au centre du processus. La liberté fondamentale des parents est garantie, car c'est eux qui choisissent les écoles de leur enfants, éclairés par des visites et rencontres dans les établissements, et qui fixent leurs priorités. Les directions disposent également d'une certaine liberté ou latitude, en conseillant les parents lors de ces rencontres, en pouvant adapter certains paramètres socio-pédagogiques, disposant de places de réserve pour traiter les cas difficiles ou exceptionnels. De plus, les directions bénéficient d'un outil allégeant leurs tâches administratives, leur permettant de mieux se consacrer à l'accueil des parents et enfants. C'est finalement également un outil flexible au service du pouvoir politique, qui peut ainsi fixer des objectifs, effectuer des simulations et en contrôler les résultats; chose qui manqua cruellement dans les derniers décrets.

5 Annexe : modèle mathématique

Afin de ne pas alourdir davantage cette page, l'annexe ne se trouve que dans le document complet au format PDF.

Cette procédure est reprise, avec son annexe, sous forme d'un document PDF : Inscription au Secondaire - Proposition d'une procédure consensuelle

Cette proposition devrait sans doute être amendée pour l'afiner, et y intégrer d'aures critères, d'autres facteurs, ... Mais quel que soit le modèle adopté, tant que toutes les écoles ne seront pas équivalentes, n'auront pas le même niveau, il en restera des plus courrues que d'autres, et il faudra départager les demandes. Au tirage au sort et aux files, je préférerai toujours un critère géographique, malgré ses imperfections.

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Pierre HARDY.
e-mail : pierrehardy01@yahoo.be

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(2 - 1/09/2021)      ¤     


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